37 - Del Amor !

 18 juillet 2021

 

Longue conversation avec mon compagnon : il a ses peurs, j’ai les miennes. Et en bons êtres humains blessés que nous sommes, on ne sait pas toujours très bien les gérer.

À force de discussions sur un épisode qui nous a tous les deux mis en colère, je lui propose de faire un décodage et il accepte. Je vous passe les détails, mais ce décodage nous amènera à une entente : se dire de quoi on s’accuse sans peur de contrarier l’autre.

Je lui ai expliqué le triangle de la vie et on est d’accord sur le fait que s’il m’accuse de quelque chose, je l’accuse de la même chose. Alors on décide de se parler davantage pour nous permettre à lui, à moi, à nous d’avancer et d’être plus sereins.

On vit déjà une belle intimité tous les deux, mais nous voilà en train de faire un pas de plus. On s’autorise à être toutes les parties de nous dans notre couple. En tous cas, toutes les fois où on en ressentira le besoin et où on s’en sentira capable. 

Et vous savez ce que je ressens à ce moment-là les amis ?

Une bouffée d’admiration pour mon compagnon qui m’observe avancer avec ETC depuis plus d’un an et qui accepte de jouer le jeu ; qui s’intéresse à ce que j’apprends et qui a le courage de s’aventurer dans l’expérience.

Je l’admire et j’ai une gratitude immense d’avoir cet homme dans ma vie qui m’aide à avancer encore un peu plus chaque jour de par sa présence, son soutien, son écoute et l’intérêt qu’il porte à tout ce que je fais.

Je me sens très chanceuse de pouvoir être vraie avec lui, sans filtre et expérimenter tout ce que j’apprends et surtout, tout ce que je suis.

Glin-glin-glin

Merci !  

 

21 juillet 2021

 

Aujourd’hui, j’ai le cœur pleiiiin d’amour pour mon compagnon. J’ai toujours le cœur plein d’amour pour lui, mais aujourd’hui, ça fait « wow pschiiit wow » !

En décembre dernier, quand j’ai rendu le manuscrit de la phase 1 du blogue à Monica et Jean-Pierre, mon compagnon était en copie de ce mail. Si vous suivez le blogue, vous savez que c’est grâce à son soutien que j’ai proposé à Jean-Pierre d’écrire pour ETC. Donc comme il était là au tout début, je voulais qu’il soit là aussi pour clôturer la 1ère partie de cette aventure littéraire !

Toujours est-il que Monica lui a offert de faire l’atelier Être bien quand il le souhaitait. À ce moment-là, il a apprécié l’offre de Monica, trouvé ça hyper gentil et m’a dit « Un jour peut-être ».

Bon et bien, ce jour, c’est aujourd’hui !! Il a décidé de suivre l’atelier et j’en suis hyper heureuse pour lui ! J’ai tellement hâte qu’il découvre tout ce que moi j’ai découvert, qu’il aille lui aussi au plus près de son JE SUIS. Et je suis fière et admirative de sa démarche !

Oulala que je l’aime !!! 

Et je ris littéralement en voyant la réactivité et l’efficacité de l’organisateur toujours aussi positif et plein d’entrain. J’ai une montée d’affection pour toute cette équipe qui met tout en mouvement pour faire du bien aux gens.

C’est juste beau à vivre.

Tellement beau. 

 

15 août 2021

 

Aujourd’hui, en France, c’est la sainte Marie et Marie, c’est une partie de mon prénom. Depuis hier, je rebats les oreilles de mon compagnon et de ses enfants en leur disant que demain, comme c’est ma fête, je m’offre une journée de repos total ! Je les laisse tout gérer et prendre soin de moi. Ce qui inclus de me faire un café quand je me lève …et je me lève…à 5h.

Le lendemain matin, à 5h, sans trop de surprise, tout le monde dort, alors je me fais mon café moi-même et ma journée démarre, un peu comme toutes les autres : je fais les petits déjeuners, je mets une machine à tourner, je lis, je fais un peu de yoga, je vais nager, je fais le repas de midi (…). La journée se passe vraiment comme toutes les autres. Beaucoup trop comme toutes les autres.

Je prends mon mal en patience, mais le soir, je leur demande à tous : « Le moment où on célèbre ma fête et où vous vous occupez de moi, ça commence quand ? ».

Et là, préparez-vous…

Mon beau fils me dit « Je t’avais écrit une lettre et j’avais mis mon réveil à 4h30 pour te préparer ton café et ton petit déjeuner, mais je me suis rendormi ». Et moi de lui répondre : « Tu me fais marcher, n’importe quoi. Elle est où cette lettre ? »

Je le vois se lever de table, aller dans la salle de bain, revenir avec la poubelle, en sortir des bouts de papier déchirés et se mettre à reconstituer la lettre qu’il m’avait faite.

Je reste hallucinée. Touchée.

Il m’avait bien fait une lettre !

Pour ceux d’entre vous qui suivent le blogue, vous savez que j’ai une peur terrible de ne pas savoir m’y prendre avec des enfants et l’arrivée des enfants de mon compagnon dans ma vie a été une grande source de stress pour moi. J’avais l’impression que toute cette histoire de vivre tous ensemble allait se finir en drame, que les enfants n’allaient pas m’aimer….

Bref, donc nous voilà en train de le regarder reconstituer sa lettre, lettre que je vais lire et qui va m’émouvoir au plus haut point. Il avait bien mis son réveil à 4h30 mais s’est rendormi alors il m’explique qu’il a jeté la lettre, car dessus il y avait noté : « La machine à café est prête, tu n’as qu’à appuyer sur le bouton ».

Mais la lettre ne dit pas que ça, elle dit plein d’autres choses qui ont fait fondre mon cœur.

Glin-glin-glin

MERCI !!

Cliquez ici pour lire la suite : 38 - J'ai peur

Être bien, ça s'apprend

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