43 - En fusion

22 et 23 octobre 2021

Toulouse – Atelier « Devenir observateur et non fusionnel »

 

Aujourd’hui commence ce qui sera pour moi le dernier atelier de la phase 2. C’est émouvant de commencer cette journée en sachant que demain soir, j’aurai terminé les 2 phases de cette formation qui m’a tant apportée.

Le but de ces 2 journées est de « devenir observateur et non fusionnel » et de prendre la responsabilité de ses émotions.

LE mot est de retour : responsabilité.

La phase 2, jusqu’au bout, nous aura fait cheminer vers cette responsabilité qui nous amène toujours un peu plus vers notre JE SUIS. 

9h00. L’atelier commence.

« Fusionnel »… J’attends de savoir quelle définition précise la formatrice donne à mot avant de décider si oui ou non, je suis quelqu’un de fusionnel. Mais en attendant, j’aime à croire que je ne le suis pas, fusionnelle. Et Loustic ne me contredit pas. 

Dans le programme de l’atelier que nous donne la formatrice, il est prévu que nous découvrions si nous avons plutôt une attitude de « victime » ou de « sauveur », les deux étant visiblement très intimement liés à cette histoire de fusion : sur le sujet, je peux déjà dire que je me place dans la catégorie « sauveur ». Je suis née une bouée de sauvetage collée à moi… ce qui me questionne sur le fait que peut-être, je puisse être un chouilla fusionnelle, finalement…

Elle enchaîne en nous disant que nous allons également apprendre à devenir observateur sans devenir insensible.

Bien.

Bien. Bien.

Fusionnelle dites-vous ?

J’ai un mode de fonctionnement qui fait que quand je ne sais plus gérer ma posture de sauveuse, je passe en mode insensible. Alors, est-ce que je ne serais pas en train d’écrire à demi-mot que je suis quelqu’un de fusionnel ?

Hein ?

9h15. Je n’aime pas la tournure que prend cet atelier. 

La formatrice fait un tour de table pour savoir ce que nous attendons de cet atelier. Je lui dis que moi, je veux savoir comment faire pour arrêter de basculer de sauveuse à insensible, sans transition. Trouver un entre-deux quand mon rôle de sauveuse m’étouffe. Encore mieux, arrêter de « sauver ».

9h30. J’intègre le fait que je suis quelqu’un de fusionnel. Ils sont de plus en plus efficaces chez ETC ! L’atelier a à peine commencé que je sais déjà où je me situe.

Allé, on y est, la journée fusion peut commencer ! 

Pour être sûre que tout le monde parle bien de la même chose, la formatrice commence la journée en nous expliquant ce qu’est une personne fusionnelle.

Personne fusionnelle : personne qui se laisse envahir par l’état émotionnel des autres personnes ; qui capte les humeurs, les sentiments, les émotions et en est perturbée, car elle n’arrive pas à prendre de la distance par rapport à ce que vit l’autre personne.

Bon, qu’on m’explique un truc : c’est quand même humain de ressentir ce que vit l’autre, non ? On n’est pas des robots non plus !

Comme si elle lisait dans mes pensées, la formatrice nous dit qu’il est naturel de ressentir ce que vit l’autre, mais il est bon d’arriver à le faire sans en être perturbé. Rester dans l’observation en fait. Parce que quand on est fusionnel, on n’est pas du tout dans l’observation, on est dans la réaction. Et être fusionnel vous savez ce que ça empêche ?

Réfléchissez…

Réfléchissez…

Ça empêche d’accéder à Dame liberté !

Et moi, je n’ai pas trop envie d’être fusionnelle, puisque je veux me sentir libre. Alors bon, je vais écouter la suite attentivement. 

La formatrice parle, parle, parle et nous dit que ce sont des manques affectifs qui nous poussent à fusionner. Mon corps réagit à cette phrase au quart de tour : je fais « Atchoum ». Un truc a l’air de me déranger dans cette idée puisqu’il est dit que d’un point de vue mental, les éternuements sont un signe que quelque chose nous ennuie ou que ce que l’on entend nous pousse à l’auto critique intérieure.

Assumer que j’ai des manques affectifs n’est pas un kiff absolu, alors oui, j’éternue, je n’aime pas l’idée. Elle m’ennuie et me pousse à me juger et à me critiquer.

« Atchoum » donc. 

Puis elle en vient à nous expliquer qu’une personne fusionnelle a 2 types de comportements qui lui sont spécifiques : hypersensible, ou insensible.

Je confirme, je suis donc fusionnelle puisque je sais que je peux être insensible, parfois.

Mais, ô surprise, lorsque la formatrice nous demande d’évaluer notre degré d’hypersensibilité, mon résultat m’étonne : 52%. C’est un bon score pour une fille qui se trouve plutôt insensible.

Ça me fait presque plaisir : dans mes croyances, il me semble que c’est socialement mieux d’être hypersensible qu’insensible. C’est plus doux. Les hypersensibles, ils sont touchants. Les insensibles, ils sont flippants, froids, distants. Autant vous dire que le mot « insensible » me renvoie à la partie froide et dure de moi que j’accueille de plus en plus, mais avec qui je ne suis pas encore en fusion. L’accueil n’est pas complet quoi.

Bref, l’idée d’être hypersensible me plaît donc. Elle me plaît jusqu’à ce que je comprenne bien ce que cela implique : être hypersensible implique qu’on est dans le trop, qu’on se nourrit de l’autre pour répondre à nos propres besoins.

C’est bof hypersensible finalement.

Bof, mais toujours mieux qu’insensible. Parce que quand la formatrice nous explique qu’un insensible est encore plus sensible qu’un hypersensible avéré, je décide que je préfère définitivement l’hypersensibilité à l’insensibilité. Et moi je suis insensible à 64% !! 64% !! Vous vous rendez compte ? Après avoir digéré le fait que j’étais une ultra dépendante (cf atelier « Autonomie affective »), je dois maintenant intégrer le fait que je suis ultra-sensible : c’est pas génial ??

Vis ma vie dans le monde des « Ultras » !

Je jour où j’envisage de faire un ultra trail, inquiétez-vous par contre : je ne suis pas sûre de survivre à l’épreuve ! 

La formatrice poursuit son enseignement, et je ne saurais plus vous dire pourquoi, mais le mot « mendier » revient sur le tapis. Ce mot qui m’est apparu lors du précédent atelier et qui m’a pas mal secoué.

Toujours est-il que ce mot revient avec à sa suite : mendier ma valeur, mendier de l’amour, mendier de l’attention. Tout ça a un lien avec le fait d’être fusionnel, mais surtout, tout ça me ramène à une chose : ma petite MJ mendie mon attention, mon amour, la valeur que je lui donne (pas). Et je revois Bella, la mendiante indienne, mendier mon attention, mon amour, pour que je m’occupe de son bébé.

Le mot « mendier », tellement présent ces derniers jours, m’envoie un message que je commence à entendre et je pense, à comprendre.

Et je me rends compte à quel point ce mot en particulier, me concernant, à toute sa place dans cet atelier. Mendier pour combler un manque affectif.

Est-ce que ça me plait de vous écrire ça ?

Non.

Est-ce que je suis sereine avec ça ?

Non.

Est-ce que j’ai un peu honte d’admettre ça ?

Oui.

Est-ce que ça fait de moi quelqu’un de mauvais pour autant ?

Non.

Est-ce que je me donne le droit d’agir comme ça ?

Process en cours. 

Voilà. Ce soir, j’en suis là. 

Cette journée se termine au bar de l’hôtel où une soirée a été organisée pour fêter la fin de la phase 2 de certains participants et pour célébrer l’anniversaire d’une participante. On rit, on parle à bâtons rompus, on prend des photos : on vit ce moment de partage et d’amour. On vit ce qu’on aime tous chez ETC : être ensemble avec une envie sincère d’être ensemble.

Au moment de partir, l’organisateur me raccompagne et sur le pas de la porte, il me dit une phrase qui reste dans mon cœur : « Tu sais MJ, tu comptes beaucoup pour nous ».

Glin-glin-glin

Merci, vous aussi, vous comptez beaucoup pour moi. 

Le lendemain, comme un clin d’œil, l’organisateur poste sur Facebook une photo d’une participante et moi en train de faire gros câlin, et ajoute en blaguant : « xxx et MJ, en pleine fusion ! ». Je décide donc de garder avec moi mon côté bisounours, câlins à tout va. 

La formatrice ouvre la 2e journée en nous disant que quand on entretient la fusion, on entretient la peur. Les copines sont de retour !

M… !

Parce que, nous dit-elle, la fusion n’est pas de l’amour, c’est un manque : on va chercher chez l’autre ce que l’on ne sait pas se donner à soi.

Double m… !!

Il semble que tant que nous sommes dans la fusion, nous n’existons pas émotionnellement, ce qui, entre nous, n’est pas cool. Pas cool du tout. Et vous savez pourquoi ce n’est pas cool du tout ?

Parce que, toujours pareil : tant qu’on attend de l’autre qu’il nous donne ce que nous ne savons pas nous donner à nous même, on est insatisfait. Ça ne pétille pas.

Alors que, quand on est autonome, comprenez quand on se donne soi-même ce dont on a besoin, on n’est pas déçu, on est même globalement plutôt satisfait. Et quand on est satisfait, ça pétille ! Ça fait « pschiiittt » comme des bulles de champagne. Et moi, même si je n’aime pas le champagne, j’aime quand même beaucoup quand ça pétille et que ça fait « pschiiittt » dans ma vie.

Alors je vais m’occuper de moi, par moi-même. Un peu plus. Un peu plus souvent. Je prends régulièrement cette décision, et je m’y tiens. Et je fais un petit pas de plus tous les jours. Ou presque.

Retenez en tout cas que c’est uniquement quand nous sortons de la fusion que nous nous ouvrons à l’amour véritable. Et pour imager cette phrase, la formatrice nous dit : « Imaginez un pétard. Dans la fusion, le pétard est un peu mouillé alors il ne pourra pas pétiller fort. Plus vous sortirez de la fusion, plus le pétard va pétiller ! ». 

Et pour que le pétard pétille, il est fortement conseillé de sortir de l’état de victime, du « pauvre petit moi snif snif » : d’arrêter de jouer à Calimero en fait.

Se positionner en victime, c’est un processus qui se construit. Et nous les humains, on commence à apprendre à jouer les victimes dès l’enfance…pour pouvoir y jouer le plus longtemps possible.

En tout cas, la victime a un truc bien à elle : elle aime plus que tout que l’autre s’intéresse à elle. Et pour ça, elle sort la panoplie la plus complète possible : faire de mauvais coups, se faire punir, pleurer, chouiner, se plaindre, faire semblant d’être malade (…) tout pourvu que l’autre soit affecté d’une façon ou d’une autre. Et dans son cheminement mental largement discutable, le fait d’affecter l’autre signifie que l’autre va venir l’aider, ce qui est, pour la victime, LA preuve d’amour tant recherchée.

Bon. Discutable j’ai dit, parce que dans les faits, pas sûr sûr qu’à long terme cette stratégie soit efficace pour être aimé.

Mais bon, tout se tente.

Et on l’a tous tenté parce qu’on a tous eu des manques alors on a tous été victime, à différents degrés, à un moment dans notre vie. C’est sûr. Certain.

Et la victime a un autre truc bien elle : elle prend, mais elle ne donne pas. Elle veut juste de l’attention, il n’y a vraiment rien d’autre qui l’intéresse.

Un bon moyen pour savoir si vous êtes une victime en puissance est d’observer votre entourage : plus vous avez des personnes atteintes de victimite autour de vous, plus il y a de chances que vous jouiez vous-même à la victime. Et si vous trouvez qu’on vous victimise beaucoup et que ça vous agace, alors vous devez faire partie de ces personnes qui ne se rendent absolument pas compte à quel point elles se positionnent en victime. 

Alors si vous avez du mal à savoir où vous en êtes avec votre Calimero intérieur, regardez ce qui se passe autour de vous, et vous saurez !

Et, puisque c’est quand même le sujet du jour, vous saurez si vous êtes fusionnel quand vous êtes en contact avec une victime et que vous ne la supportez pas. Pas bon signe pour vous. 

Bon comme toutes victimes méritent un sauveur, parlons d’eux maintenant.

Parlons de moi, la sauveuse née !

Et ça commence fort puisque la formatrice nous dit que le sauveur veut tellement sauver qu’il en oublie ses propres besoins. Bim !

Elle nous dit ensuite que le sauveur, une fois qu’il a atteint ses limites, peut devenir insensible. Bam !!

Puis elle nous explique qu’on est sauveur autant qu’on est victime. Boum !!!

Et enfin, elle nous dit que le sauveur ne sauve personne, de rien. Au mieux, il met un pansement, mais pas plus. Bim bam boum !

Voilà.

Échec et mat.

Joueur KO.

Kaput !

Fin de l’histoire : j’arrête ici mon fantasme de sauver l’humanité.

Et j’en reviens à la base : « sauve-toi toi-même ». 

Il y a quand même un truc hyper important que je ne vous ai pas dit. Et ce truc hyper important, c’est la pièce maîtresse de tout ce bazar victime/sauveur/fusionnel. Tout ça a un point de départ. Tout ça est relié à une personne bien précise. Tout ça s’explique. Tout ça est un schéma qui se transmet, et qui se répète.

Tout ça est précisément expliqué dans l’atelier. Mais comme je n’essaye pas de vous sauver absolument, je prends sur moi, et je ne vous en dis pas plus. Sauvez-vous vous-même !

Par contre, ce que je peux vous dire, c’est que quand on joue à ce petit jeu sauveur/victime, on ne fait qu’entretenir nos blessures. Et une blessure bien entretenue, ça fait mal. De plus en plus mal. Et quand ça fait vraiment très mal, ça se traduit par une maladie ou un malaise. Et quand la formatrice liste gentiment les malaises et maladies concernées par notre attirance à la fusion, j’en conclus que je suis bel et bien une fille fusionnelle. Parce que j’en ai quelques-uns des malaises cités !

Un autre « Bim bam boum » pour la route. 

Une fois les « Bim bam boum » passés et partiellement digérés, la formatrice prononce un mot récurrent dans les ateliers ETC : sentir.

SENTIR.

On y revient à ce sujet particulièrement délicat de « sentir ce que nous vivons ». Ce que NOUS vivons, pas ce que l’autre vit. Car la différence, quand on est fusionnel, est importante. « Dans toutes réactions fusionnelles, nous dit la formatrice, nous ne sentons pas. Nous sommes en réaction à ce que nous ressentons de l’autre, mais nous ne voulons pas sentir notre propre souffrance et impuissance. »

En clair, le sauveur veut sauver, mais surtout ne pas sentir son propre manque. Il préfère se concentrer sur celui de l’autre : moins douloureux.

Moins efficace aussi pour aller vers son JE SUIS, et être libre.

La victime fait pareil : elle ne sent pas. Elle chouine, pleure, cherche de l’attention, mais elle se tient éloignée de ce qui pourrait lui faire sentir ce qu’elle vit : trop dangereux.

La même : moins efficace aussi pour aller vers son JE SUIS, et être libre.

Alors pour sentir ce que l’on vit, la formatrice nous conseille d’observer. Elle nous explique qu’observer, c’est être attentif à ce qui se passe à l’intérieur de nous, c’est avoir de l’attention pour soi-même. Et observer va nous permettre de sentir véritablement. Et sentir véritablement, va nous permettre de transformer.

D’aller vers ce qui est bon pour nous.

De défusionner pour accéder à Dame liberté.

De nous rapprocher de notre JE SUIS. 

Pour nous prouver qu’observer est aidant, elle nous propose de faire un exercice pratique. Exercice qui se fait en binôme. Exercice que je ne vais pas vous détailler ici. Mais, exercice que je vous conseille d’expérimenter parce qu’il va vous permettre de trouver LE manque qui créer une relation fusionnelle que vous vivez actuellement.

Passionnant ! 

Et juste après cet exercice passionnant arrive le moment où la formatrice va nous expliquer comment faire pour transformer nos relations fusionnelles dans le détail. Le détail est noté sur notre cahier d’exercices : 1 page recto verso est dédiée uniquement à cette partie-là…alors, autant vous dire que pour défusionner, il y a un peu de taf.

Une fois n’est pas coutume, la formatrice nous demande de lire, chacun à notre tour, une des étapes pour sortir de la fusion. Et une fois n’est pas coutume (encore), elle nous précise de bien faire attention à la phrase sur laquelle on tombe.

Moi, j’aurais 2 phrases à lire.

La première : « Pour transformer mes relations fusionnelles, je dois assumer ma peur en posant des actions qui m’amènent vers mon désir ou mon besoin ».

Sachant que j’ai un besoin d’attention surdimensionné, je vais réfléchir à comment faire pour assumer cette peur d’en manquer. Et je décide de prendre le risque de ma peur, parce que je saurais gérer.

La deuxième : « Quand j’ai une attitude de sauveur, permettre aux gens de mon entourage d’attirer mon attention sur le fait que j’essaie de leur dire quoi faire sans qu’ils me l’aient demandé ».

Je vais jouer le jeu, parce que vraiment, je veux défusionner et aller faire un câlin à Dame liberté.

Je veux, je veux, je veux ! 

C’est sur cette volonté farouche de défusionner que se termine la matinée.

À la reprise, à 14h, c’est le moment de la remise des attestations pour ceux qui finissent la phase 2 le soir même. Je fais partie des joyeux étudiants qui sont allés au bout de cette 2de phase alors, comme lors de la phase 1, je fais des sauts de joie au moment où je reçois mon attestation.

La formatrice nous demande de dire un petit mot, petit mot qui me stresse, puisque vous le savez, je n’aime toujours pas parler en public. Mais je suis trop heureuse pour râler alors je remercie tous ces visages que j’ai en face de moi pour leur bienveillance et leur amour : grâce à eux, j’ai réussi à être toujours un peu plus vraie et à me rapprocher encore un peu plus de mon JE SUIS.

Je remercie la formatrice et l’organisateur qui sont des modèles : leur cheminement personnel avec ETC prouve bien que tout ce travail n’est pas vain. Que le résultat peut être magnifique.

J’explique qu’en phase 1, j’ai fait face à certaines de mes plus grandes peurs pour construire ma vie personnelle ; et qu’en phase 2, j’ai de nouvelles copines à gérer pour cette fois, construire ma vie professionnelle. Mais je sais que je vais y arriver, parce que j’ai les outils pour le faire.

Et je rajoute que de cette phase, je repars avec la volonté d’accepter que j’ai de la valeur.

J’AI DE LA VALEUR !

Et je me mets à pleurer. Pour changer…

Alors je dis : « J’écris d’habitude moi !! Je ne parle pas !! ».

J’en ai un peu de marre de pleurer en public… 

La journée se termine avec une méditation où l’on va rencontrer son guide.

Je demande à mon guide un conseil pour arriver à devenir observatrice plutôt que fusionnelle. Il me dit : « Aime-toi, tu as toutes les ressources en toi. Et écoute-toi. ».

Puis je visualise un cordon de fusion avec une personne que j’aime, et d’un coup, ce cordon se met à briller d’une belle lumière dorée, puis il se désintègre en de belles paillettes. C’est beau. Je les appelle « Les paillettes de l’Amour ».

Parce que de cet atelier, je retiens une chose : couper un lien de fusion, ce n’est pas couper un lien d’Amour. C’est se rapprocher de l’Amour. 

Il y a un peu de magie dans tout ça. Et moi, la magie, j’adore !! Alors je sors ma baguette magique et …abracadabra, je saupoudre d’Amour ces liens fusionnels avec lesquels je vis pour en faire de belles paillettes, pleines d’Amour…et libres comme l’air !

Cliquez ici pour lire la suite : 44 - Les jeudis avec Lise

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